Bonjour à tous,
Pas besoin d’imposer l’ordre et la soumission par la force, la manipulation des masses et la peur font des miracles, aux quelques soubresauts des veaux prés… en attendant !
La victoire du « Meilleur des mondes » sur « 1984 »
De la monarchie à la démocratie (1789), puis à la démocratie indirecte qui aboutit à l’oligarchie (1831), qui s’est mondialisée en 1945, à celle des GAFAM qui prend actuellement la main, pour aller vers celle de l’IA forte (en 20 ??), qui échappera peut-être à l’Homme, que reste-t-il de l’utopie démocratique ?
Bonjour à tous,
Aujourd’hui j’ai choisi de vous raconter une histoire.
Une histoire pas très drôle. Une histoire que je ne raconterai pas à mon petit-fils à la place du « Petit Prince » pour l’endormir, et pourtant, cette histoire c’est la nôtre.
Une histoire vraie, mais aussi une utopie, une manipulation, un mensonge qui date de 1831, c’est celle de la démocratie qui vient une fois de plus de mettre symboliquement un genou à terre.
Non ce n’est vraiment pas une histoire à raconter à nos petits-enfants, et pourtant c’est celle que nous allons leur laisser et qu’ils seront bien plus à même que notre génération à gérer… s’ils lisent, ou ont intuitivement inclus une autre référence, « La psychologie des foules » de Gustave Le Bon (1895).
C’est l’histoire où « les méchants » prennent le pouvoir par le contrôle de la population mondiale, certes avec les vaccins munis de bio marqueurs mais que tout le monde va s’arracher à prix d’or, avec les big-datas, la reconnaissance faciale, les écoutes généralisées, les lois d’exception qui passent comme une lettre à la poste…, mais surtout avec les bonnes vieilles méthodes, par l’inculture entretenue en nivelant par le bas, par du pain, des jeux, des aides sociales, du gras, du sucre et du Coca.
Dans cette histoire il n’y a pas de secrets cachés, pas de manigances, tout est exposé en plein jour à la vue de tous, car c’est le meilleur endroit pour cacher les plus grands secrets.
Car c’est aussi le meilleur moyen faire à moindre frais le plein de consentements, voire, de bénéficier de l’aide des opposants et manifestants qui, bien manipulés par ceux-là même qu’ils pensent combattre, servent d’idiots utiles pour justifier le besoin d’encore plus de totalitarisme.
C’est la victoire du « Meilleur des mondes » d’Aldous Huxley (écrit en 1932) sur « 1984 » de George Orwell et son : « Big Brother is watching you », (écrit en 1948). Celle où ce dernier inspiré du Stalinisme et du Nazisme avait imaginé imposer la dictature quand le premier pensait plus finement la dictature parfaite : « une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude. »
Le problème c’est que seule la classe dite dirigeante semble avoir lu « Le meilleur des mondes ».
Einstein disait qu’il ne voyait pas comment on pouvait s’élever sans lire les classiques qui sont produit en très petit nombre chaque siècle « Quelqu’un qui ne lit que des journaux et au mieux des livres d’auteurs contemporains me semble être une personne extrêmement myope qui méprise les lunettes » . Et à son époque il ne sortait pas un bestseller creux par jour et il n’y avait pas de chaine de gavage d’informations continues et sélectionnées. Média appartenant en France à tout au plus à une dizaine de milliardaires.
Si ce n’était pas une histoire, il serait logique de commencer par définir ce que sont le totalitarisme et la démocratie, ou l’ersatz de cette dernière que l’on nous vend depuis 1831. Cela prendra la forme d’un bonus à la fin de cette vidéo sous la forme un extrait d’une vidéo de Gabriel Rabhi, avec son accord, qui présente excellemment la différence entre la démocratie, la vraie, pas celle dévoyée en 1831 dans ce que l’on appelle la deuxième révolution qui a repris au peuple le pouvoir de faire les lois par le biais de la « représentativité » et où il la comparera aux autres régimes, et avec pour les plus tenus une ultra balles avec le lien sur une autre de ses vidéos https://youtu.be/NA5HdLiJxBo où répond à la questions somme nous en démocratie ?
Max Weber dans Le Savant et le Politique (1919) définit les partis politiques comme « les enfants de la démocratie […] “ qui contribuent” à organiser les masses ». Il poursuit son analyse fondatrice dans Économie et Société (1922) « considérant l’État légal et le parlementarisme comme les fondements du développement des partis politiques. Dès lors, la démocratie libérale et représentative conforte la nécessité pour les politiques de connaître (et maîtriser) autant leur électorat que « l’opinion publique », c’est-à-dire les thématiques auxquelles les citoyens-consommateurs s’intéressent, afin d’orienter les masses et prédire leur comportement d’achat. »
Pour ma part j’ai largement déblatéré sur le sujet avec deux papiers parus il y a déjà quelques temps sur le Café du commerce de la 23eme heure du. Site Zen List, avant qu’il ne devienne celui de la 25ème heure que nous avons, à mon avis, passé. Papiers où je disais qu’« En démocratie se sont les minorités bruyantes qui gouvernent », comme les événements actuels nous le démontrent : https://zenlist.fr/ce-sont-les-minorites-buyantes-qui-gouvernent/
Et où en prenant Churchill à contre-pied j’interrogeais sur le fait de savoir « Si la démocratie était toujours le mauvais régime en dehors de tous les autres » https://zenlist.fr/la-democratie-n-est-plus-le-plus-mauvais-des-regimes/
Pour le totalitarisme on retiendra une définition large consistant à : soumettre les peuples, des groupes ou une personne à une idéologie, une religion, un consumérisme… en gros tout ce qui prive des libertés, de penser, de faire et d’être, au-delà d’un minimum de règles nécessaires au vivre en collectivité.
Un moyen pour s’alerter est la terminologie des mots, totalitarisme, écologisme, terrorisme, salafisme, islamisme… Ces derniers ne seront pas abordés ici car malgré leurs approches toutes aussi sournoises c’est presque écrit dessus.
Le thème du jour concerne donc l’instauration de mesures totalitaires sous la couverture d’une situation de crise, qu’elle soit sanitaire ou sécuritaire. Mesures bien entendu, qui comme les taxes qui suivent sont exceptionnelles et provisoires, mais dont une bonne partie finissent par rentrer dans le droit commun.
Crise = Opportunité ET menace
Nous allons rentrer dans le vif du sujet en commençant par le programme de l’OMS sur les bio marqueurs inclus dans les vaccins. Opération portée principalement pas la version Mister mécène de l’oligarque Bill Gates, et ce par le biais d’un extrait de la vidéo du docteur Thierry Charrier qu’il a titré « Pandémie du COVID-une chance pour notre évolution », mais où on peut aussi y voir une opportunité pour imposer plus de totalitarisme et de contrôle, donc de pouvoir !
Alors malgré le CV de ce psychiatre qui baigne dans la vision Jungienne et la physique quantique, et dont je vous recommande les vidéos sur ces sujets, on pourrait espérer qu’il ait abusé de substances illicites ou de ses petits cachets.
Et bien non, même pas, tout est disponible sous un beau titre ronflant, au sein d’une organisation prétendument indépendante et dédiée à la santé de l’humanité sous nom d’Organisation Mondiale de la Santé. Bon d’accord ces temps-ci elle n’a pas bonne presse suite à sa prestation lors du début de crise du Covid. Organisation dont le président a largement bénéficié du soutien de la Chine pour son élection. Du coup le cowboy américain a saisi le prétexte pour en sortir, avec sa participation financière évidemment, laissant ainsi une chaise vide que la Chine et senior Gates et sa dotation de 50 milliards de dollars, se sont empressés d’accaparer. Ce d’autant plus que les Trumperies font le bonheur du Corona qui fait un carnage aux USA.
Ce programme de pistage systématique par bio marqueur, voire, marqueurs quantiques, sous prétexte de dépistage, qui vient de s’ajouter aux autres, souvent acceptés tout aussi volontairement et de façon contributive, voire réclamée et payée, porte le nom ID2020.
Quand vous demandez à votre moteur de recherche vous tomber ici :
ID2020 est on ne peut plus officiel et bénéficie d’un vrai site institutionnel où l’aéropage de dirigeants, managers, spécialistes et autres sommités dont le but est, comme pour le comité scientifique français pour le Corona, de décharger le pouvoir politique de toutes responsabilités pénales.
Bien qu’ils n’aient probablement pas de mal à l’imposé, puisque tout le monde demandera à être protéger contre le, ou la COVID, qui a opportunément fait le job de créer le climat de peur, suivi par des ravages économiques qui eux justifieront plus de robotisation et plus d’impôts.
Généralement quand on commence par vous dire que le but n’est pas de vous escroquer, c’est que le pigeon c’est vous.
« Les partenaires de l’Alliance partagent la conviction que l’identité est un droit humain et que les individus doivent être « propriétaires » de leur propre identité »
« Grâce à notre marque de certification, nous façonnons le paysage technique pour garantir que les solutions d’identification numérique qui sont développées et adoptées sont gérées par l’utilisateur, protègent la vie privée et sont interopérables ». Encore une fois rien n’est caché c’est bien d’identification numérique de l’humanité dont on parle ici.
En janvier 2019, l’Alliance, un truc où vous n’êtes pas invité à l’AG ni au diner de gala, a lancé la marque de certification ID2020 lors du Forum économique mondial de Davos. Là non plus vous n’êtes invité, Le Comité consultatif technique (TAC) d’ID2020, composé d’experts de premier plan en matière d’identification numérique et de ses technologies sous-jacentes, a établi un ensemble d’exigences techniques fonctionnelles, basées sur les résultats, pour une identification numérique portable, gérée par l’utilisateur et protégeant la vie privée.
Les Partners de l’alliance
On verra plus tard pourquoi cela est tout simplement impossible, notamment aux USA.
La certification permet également aux entreprises qui répondent à nos exigences techniques de commercialiser telles quelles et donne à ceux qui mettent en œuvre ces technologies la confiance nécessaire pour adopter des solutions certifiées.
Là aussi les choses sont claires, évidemment ce sont des entreprises privées qui grâce à cette labellisation fabriqueront les vaccins traceurs avec l’OMS et l’Alliance comme services commerciaux auxquels se joindront les états par la mise en œuvre de mesure restrictives.
Non on ne vous obligera pas à vous faire vacciner et ainsi marqués mais si vous ne l’êtes pas vous ne pourrez pas rentrer dans la fonction publique, au cinéma, dans les musés, à l’aéroport dans les gares…
Ainsi les Échos titraient : « Bientôt un identifiant numérique pour tous ? Entreprises, institutions internationales et ONG rêvent d’un système mondial permettant d’authentifier l’identité de n’importe qui, n’importe où. Un milliard d’êtres humains sans papiers d’identité ».
Quand je vous dis que tout est en plein jour !
Mais la France, pays des droits de l’homme, a décidé d’aller encore plus vite et plus dans le fichage médical. Il faut dire que les hologrammes qui nous dirigent ont été mis en place pour accélérer ce genre de réforme et rappelés à l’ordre dernièrement par le comité des grands donateurs, essentiellement étrangers, qui ont permis de financer au moins 46% des 15 millions, déclarés, de la campagne électorale, grâce à quelques centaines de personnes.
Donc pour le bien de la science et de l’humanité évidement, et pas celui des assureurs ni des banquiers, qui sont d’ailleurs maintenant souvent les mêmes et qui forment un grand nombre de ses donateurs comme son ancien employeur la banque Rothschild, la France est allée encore plus loin avec le projet, qui n’est plus au stade de projet mais de réalisation, le Health data hub.
Le 31 mars 2018, donc bien avant la pandémie et sous l’égide de la ministre de la santé Agnès Buzin, tient déjà, « le Président de la République a lancé un plan « intelligence artificielle » pour que la France devienne un leader dans ce domaine. La France a déjà de nombreux atouts : une recherche en médecine et en mathématiques appliquées parmi les meilleures du monde, une base de données médico-administratives exceptionnelle, de nombreuses cohortes, registres et données hospitalières, ainsi qu’un écosystème de start-ups très actif dans ces domaines. Il manquait néanmoins une infrastructure clef, un système de base de données et de services liés : c’est l’enjeu du Health data hub. Il devrait ainsi permettre de croiser les bases de données de santé dont nous disposons et de faciliter leurs utilisations par les nombreuses équipes de recherche et de développement avec un respect total de la vie privée des usagers du système de santé.
Plus rapide que toute autre mise en application et suite à la remise du rapport Villani, oui le même dissident que le candidat à la mairie de Paris face à… Agnès Buzin « Le 24 juillet 2019, la loi relative à l’organisation et la transformation du système de santé, dont l’article 41 définit le GIP Plateforme de données de santé (le Health data hub) a été promulguée.
Quatre mois après, cette structure est officiellement créée et les textes relatifs à sa création, publiés le 30 novembre 2019.
Début 2020, la plateforme technologique sera ouverte aux premiers projets et un premier catalogue de bases de données composé des bases les plus prometteuses sera mis à disposition des chercheurs, mais aussi des associations de patients et citoyens, des institutions, des start ups, et des différentes parties prenantes du secteur de la santé. Cette plateforme bénéficie d’un haut degré de sécurité et ne pourra conserver que des données non nominatives. »
Les données partagées sont non directement identifiantes et leur accès est réglementé : un comité éthique et scientifique, ainsi que la CNIL, assurent un accès raisonné aux données et les citoyens sont informés. La plateforme est hautement sécurisée.
Alors données non identifiantes, cela signifie que l’on a probablement enlevé vos noms, prénoms, N° secu etc… mais à mon avis quand vous demandez à une IA de croiser les données pour savoir qui s’est cassé le tibia gauche, le 14 avril 1974, a passé un scanner dans tel hôpital à telle date ect… comme il est fait pour cela l’algorithme ne devrait pas tarder à vous loger rapidement, dans un premier temps, avant de recouper avec d’autres fichiers téléphoniques, de cartes bancaires, des reconnaissance faciale… un autre élément de ce vaste réseaux, auraient pu être les portiques de l’écotaxe si le Ploucistan oriental ne s’y était pas opposé !
https://www.health-data-hub.fr/cesrees
Là aussi rien n’est caché, tout est affiché sur le site officiel où on nous dit que Le Comité Éthique et Scientifique pour les Recherches, les Études et les Évaluations dans le domaine de la santé est en charge de rendre des avis sur les projets d’études nécessitant le recours à des données personnelles de santé préalablement à l’autorisation de la CNIL.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/181012_-_rapport_health_data_hub.pdf
Mais il y a un bug un peu trop gros à avaler bien qu’il finira par passer comme tout le reste, c’est le choix de l’hébergeur pour lequel le journal Marianne titre et écrit :
Microsoft prestataire du Health Data Hub : un choix « d’opportunité » pour « aller vite » 27/12/2019 0 357 (TICsanté) – « La sélection du cloud Azure de Microsoft comme prestataire d’hébergement du Health Data Hub n’est « pas idéale » mais correspond à un « choix d’opportunité » afin « d’aller vite » dans le développement de la plateforme, a indiqué la directrice du hub Stéphanie Combes à TICsanté ».
Le choix de Microsoft Azure a été critiqué par plusieurs dizaines de professionnels du secteur de la santé et de l’informatique médicale dans une tribune publiée par le Monde, et fait l’objet d’articles début décembre 2019.
Les principaux reproches sont le choix d’une entreprise américaine présentant un risque de sécurité et de « captivité numérique », en particulier du fait du Cloud Act, loi permettant à la justice américaine d’accéder aux données stockées sur des serveurs situés en dehors des États-Unis.
Microsoft Azure fournit notamment « le stockage, la gestion des logs et des annuaires » et la puissance de calcul du hub, a précisé Stéphanie Combes.
Microsoft était alors « la seule société certifiée hébergeur de données de santé (HDS) sur les six activités » couvertes par la réglementation, a fait valoir Jean-Renaud Roy, directeur « corporate affairs » de Microsoft France, lors de son audition par la mission d’évaluation et de contrôle des lois de financement de la sécurité sociale (Mecss) de l’Assemblée nationale le 20 décembre. « S’il y avait eu une alternative, nous aurions dû passer par un marché public et la procédure aurait été beaucoup plus longue », a déclaré Stéphanie Combes.
De son côté, Microsoft fait valoir qu’elle « n’est qu’un fournisseur de technologies de cloud, d’intelligence artificielle (IA) et de maniement des données » et « n’a pas à connaître les données hébergées », a déclaré Jean-Renaud Roy.
Azure « n’est qu’une brique technologique parmi d’autres », a confirmé Stéphanie Combes. « Les données seront pseudonymisées et chiffrées, et Microsoft n’aura pas la clé de chiffrement. (Léo Caravagna)
Nous sommes là face à deux problèmes majeurs qui n’ont pourtant pas arrêté nos gouvernants sous prétexte d’urgence et de non-disponibilités de solutions techniques françaises.
1/ A l’heure où l’on parle de souveraineté stratégique après avoir pris conscience de notre dépendance stratégique sur les médicaments ou les masques, on livre légalement et consciemment les données de santé de la totalité de nos citoyens aux services de renseignements américains et donc à son industrie ! Ce à quoi on nous répond pour nous rassurer : « Au sujet du Cloud Act, Stéphanie Combes comme les responsables de Microsoft auditionnés par la Mecss, ont mis en avant le fait que cette loi concerne des enquêtes judiciaires en matière de criminalité et de terrorisme. ». On imagine bien la France intenter un procès contre les USA et où, à l’OMC !
2/ Comme par hasard c’est chez Microsoft dont le coté mécène de patron Bill gâtes est forment mis en cause !
Excellente enquête de Lionel Astruc qui démonte le mécano de la fondation Bill et Melinda Gates et démontre que plus il donne et plus il gagne d’argent. Ces dons sont des investissements présentant un retour que vous n’arriverez jamais à égaler. Il met surtout à jour un système batti autour d’un trust qui investit dans les actions Coca-cola, MacDo, et dans 35 entreprises parmi les 235 les plus polluantes en CO2.
La fondation (5% minimum de don pour bénéficier de l’exonération fiscale) elle n’investit ses 95% représentés que par les dividendes de ce Trust, soit tout de même 40 milliards, à comparer aux 92 milliards placés dans des filiales défiscalisées à l’étranger dont le rapatriement aux USA lui vaudrait 29 Milliards d’imposition mais sans le quasi statut de chef d’état et l’aura de Mécène qui leur ont valu avec sa femme au titre de leur fondation les insignes de commandeur de la Légion d’honneur remis par le président François Hollande auquel assistait tout le gratin parisien .
Mais les enquêtes décortiquant le subterfuge ne manquent pas dont vous trouverez une liste non exhaustive en note de bas de page
Pourtant Bruno Le Maire annonçait récemment que nous n’avions pas vocation à être les idiots du village !
Les courriers aux ministres d’un collectif de personnalités et de scientifiques, remues méninges au Sénat… pour l’instant rien n’y fait
Alors qui aura « officiellement » accès à ces données, car je n’ose même pas imaginer l’hypothèse d’u piratage dont peu de systèmes, mêmes officiels et hyper protégés ne sont pas la cible, pas plus qu’une revente sur le Darknet de ces données ?
Selon Frérique Schneider dans La Croix : « 18 projets ont déjà obtenu un agrément pour cela. Parmi eux, on trouve « Hydro », lancé par Implicity, une start-up travaillant à la mise au point de prothèses cardiaques connectées. Objectif : « Prédire les crises d’insuffisance cardiaque pour les patients porteurs de pacemaker ». Ou encore « Arac », porté par Malakoff Médéric, et qui vise à mieux « mesurer et comprendre les restes à charge réels des patients » en croisant les informations de l’Assurance maladie et celles de la mutuelle. » Tient donc un assureur, et qui parle de reste à charge !
Alors comment aller plus vite pour collecter les données médicales, et bien en rémunérant les médecins traitants pour qu’ils remplissent la BDD
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Devant tant d’évidences, j’ai du mal à opter pour autre chose que la manipulation de l’inconscient collectif par le conscient de certains, l’instrumentalisation des peurs naturelles rationnelles et irrationnelles, surtout quand 64 entités mondiales déteignent 80% des richesses industrielles, et que la presse en France est, elle, détenue par à peine une petite dizaine de ces grandes fortunes industrielles, qui détiennent également pour certaines dorénavant une grande partie de la production des séries TV, autres outils de formatage du cerveau.
Et face à toutes ces menaces, que je ne soupçonne pas d’être volontaires, pas plus que je ne rejette les vaccins qui depuis Pasteur ont sauvé des millions d’enfants des maladies qui ne demandent qu’à revenir, mais pour lesquelles je vous invite à vous interroger sur la façon dont elles sont vite transformées en opportunités pour imposer plus de contrôle et de totalitarisme. Et tout est bon pour cela.
Ainsi l’état d’urgence qui a suivi la période des attentats terroristes à Paris, celle où tout le monde applaudissait la police et était Charlie, a donné lieu à la mise en place de lois d’exceptions, justifiées sur le moment mais dont certaines ont subrepticement été introduites dans le droit commun. Ainsi l’article 13 de la loi de programmation militaire a été adoptée en seconde lecture par le Sénat le 10 décembre 2013 après à peine 9 jours de réflexions juridiques.
Quel rapport me direz-vous, entre le totalitarisme et la loi de programmation militaire (LPM) dont la finalité est de définir le budget que la France consacrera à sa défense, et les arbitrages qu’elle fera entre la construction d’un porte-avions supplémentaire et des chars Leclerc. La même LPM qui en 20 ans a asséché le budget de nos armées alors que les missions stratégiques augmentaient obligeant parfois les opérations spéciales en cours au Sahel à annuler des missions faute d’hélicoptères dont le taux de disponibilité, comme celui des autres aéronefs, s’échelonne entre 20% et 50% ! Et bien justement quasi-camouflage de ce fameux art.13 qui méritait un débat de société. Que dit-il ? Il introduit dans le code de la défense un nouveau chapitre VI intitulé « Accès administratif aux données de connexion ». Dans ce chapitre VI, un nouvel article L 246-1 autorise les ministères de la défense, de l’intérieur et, de l’économie et des finances à accéder aux « informations ou documents traités ou conservés par leurs réseaux ou services de communications électroniques », c’est à dire à ce qu’on appelle les métadonnées qui sont stockées pour pouvoir être exploitées et recoupées ultérieurement. Cela comprend les identifiants de connexion, la localisation des équipements utilisés, la liste des numéros appelés et appelants, la date et la durée des communications. La particularité de cette nouvelle législation n’a pas consisté en une simple adaptation ou une extension au ministère des finances des dispositions existantes, mais réside par rapport aux écoutes dites administratives qui, elles ne peuvent être pratiquées qu’avec l’autorisation du juge d’instruction, ou du juge des libertés et de la détention au stade de l’enquête préliminaire, ou celle des écoutes les « interceptions de sécurité », qui sont définies par la loi de 1991, dans son article 3, qui ont pour objet de « rechercher des renseignements intéressant la sécurité nationale, la sauvegarde des éléments essentiels du potentiel scientifique et économique de la France, ou la prévention du terrorisme, de la criminalité et de la délinquance organisés et de la reconstitution ou du maintien de groupements dissous , mais par un encadrement juridique minimaliste les écoutes administratives ou plus exactement les « interceptions de sécurité », qui sont définies par la loi de 1991, dans son article 3, comme celles qui ont pour objet de « rechercher des renseignements intéressant la sécurité nationale, la sauvegarde des éléments essentiels du potentiel scientifique et économique de la France, ou la prévention du terrorisme, de la criminalité et de la délinquance organisés et de la reconstitution ou du maintien de groupements dissous La CNCIS, autorité plus administrative qu’indépendante
Ensuite, et c’est sans doute le défaut essentiel de la procédure, la CNCIS qui désigne la « personnalité qualifiée » et qui a pour mission de contrôler les interceptions de sécurité est une autorité administrative indépendante, nettement plus administrative qu’indépendante.
Elle est composée de trois membres, un député, un sénateur, et son président, généralement un conseiller d’État. Ce dernier est choisi par le Président de la République sur une liste de quatre noms établie conjointement par le vice-président du Conseil d’État et le premier président de la Cour de Cassation. Quant aux deux parlementaires, chacun d’entre eux est désigné par le Président de leur assemblée et leur mandat n’est pas renouvelable. La CNIL, dans un communiqué du 26 novembre 2013, « déplore » ainsi de ne pas avoir été saisie des dispositions de l’article 13.
Si on est pessimiste, et on a des raisons de l’être, la LPM autorisera l’interception et le stockage de tout message posté sur un forum, d’emails hébergés chez laposte.net, Orange, SFR ou tout autre service situé sur le sol français, et plus largement, de toute donnée stockée sur un serveur français. Lorsque l’on sait qu’OVH, une société française, est le plus gros hébergeur d’Europe, ça va en faire des informations et documents à récupérer et analyser pour nos barbouzes dopés à la LPM.
Cerise sur le gâteau, toutes ces informations peuvent être interceptées et récupérées sans aucun contrôle judiciaire. Seule une personnalité qualifiée placée auprès du Premier ministre valide les interceptions. Pas de panique, claironnent les défenseurs de cette loi, une commission administrative pourra demander a posteriori la suspension d’une écoute non justifiée. Et combien sont-ils dans cette commission ? Huit personnes en France vont donc statuer sur des centaines voire des milliers de demandes d’écoutes lancées par nos supers barbouzes pour des motifs aussi vagues que “la sécurité nationale, la sauvegarde des éléments essentiel du potentiel économique de la France, ou la prévention du terrorisme, la criminalité et la délinquance organisées et la reconstitution ou le maintien de groupement dissous”.
Trop pressé d’éviter de voir cette loi examinée par le Conseil constitutionnel, le gouvernement n’aura laissé que 9 jours aux parlementaires pour signer la saisine, en totale contradiction avec l’usage républicain en vigueur jusqu’alors. C’est une première, et je suis navré qu’un gouvernement socialiste ait eu la primeur d’un mouvement aussi mesquin. »
Mais pendant la crise les affaires continuent, quelques soit le gouvernement et l’époque, ainsi ce 17/07/20 Matignon vient d’autoriser le projet de loi sur la lutte contre le terrorisme et le renseignement traitant de l’élargissement des capacités de surveillance des algorithmes utilisés par les services de renseignement. « Cette technique de surveillance permet à ces derniers, grâce à un programme informatique, de passer en revue en temps réel une masse de données numériques pour détecter des menaces terroristes. Finalement, comme la loi l’imposait, le gouvernement s’est prononcé dans un rapport confidentiel transmis, le 30 juin, à la présidente de la commission des lois de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet. Selon les informations du Monde, il propose la validation du dispositif mais il veut étendre les capacités de l’algorithme à des données plus personnalisées. Le ministère de l’intérieur et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), maîtres d’œuvre de cette arme technique, même si ce sont les ingénieurs de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) qui la conçoivent, veulent étendre son champ de surveillance. Ils souhaitent que l’algorithme puisse aussi s’attaquer aux adresses dites « URL », connues sous le nom « d’adresses Web ». Ces dernières sont enregistrées par chaque utilisateur lors d’une consultation Internet ou d’une recherche sur les réseaux sociaux. En guise d’explication, le gouvernement assure que, à ce jour, cet outil chargé de détecter la menace terroriste de basse intensité n’a permis de déboucher sur aucun dossier opérationnel. Ce projet gouvernemental fait émerger une divergence de fond avec l’analyse de la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR), instance administrative et indépendante chargée de donner un avis consultatif pour l’utilisation de chacune de ces techniques. Pour la CNCTR, en effet, « l’adresse URL » n’est pas une simple donnée technique de communication, comme le pensent les services. Pour elle, il s’agit de données personnelles puisqu’elles délivrent des indications de « contenu » sur nos recherches. Une lecture jugée, au sein de l’Etat régalien, comme restrictive. »
Autre point : A la tentative qui semble se solder par un flop l’application STOPCOVID où la France a eu la double prétention de défier les applications déjà développées par les GAFAM et le bon sens des Français. Application par ailleurs lancée avant que la CNIL ne sache comment elle fonctionnait, qui au final ne serait pas conforme aux annonces initiales du gouvernement, ni à son décret d’application pas plus que ce qu’à l’avis de la CNIL. Bien que développée gratuitement, parait-il, elle va avoir un coût de 200 à 300.000€/mois ! Mais comme c’était open bar à Bercy, c’est une goutte d’eau dans un océan de dettes et de dépenses inutiles ! Ceci étant, dans un sondage LCI/TF1, 61% des français, toutes catégories de la population confondues, se disent d’accord pour un suivi individualisé par Tracking, quand 61% également trouvent cela intrusif ! On n’est à une contradiction près !
On est encore une fois en plein cas de manipulation de l’inconscient collectif naturel par le conscient de quelques-uns. La preuve c’est que l’ex premier ministre après une gestion crise du COVID pour le moins désastreuse et dramatique pour les soignants envoyés au front sans masque, « a quitté » le gouvernement avec une cote de popularité à son Zénith. Comme si rien ne s’était jamais passé, si ça ce n’est pas le résultat du pouvoir des médias !
Et pour cette application comme pour ID 2020, j’ai entendu le Commissaire Européen Thierry Breton nous expliquer sur le 12/04 à 14h05 lors de l’émission le « Grand Jury » de LCI que cela ne concernerait que les volontaires, que les données sont agrégées, qu’aucun service de police, justice, ou commercial ni assurances n’y aurait accès. »
Quand un politique prend autant de précaution pour nous assurer que tout est sous contrôle, « dormez en paix brave gens on veille pour vous » votre vie privée sera protégée, tout en démontrant le contraire, c’est que ça ne va pas tarder à merder, ou que ça merde déjà !
La preuve : « La géolocalisation des téléphones confirme l’exode des Parisiens, environ 17 % des habitants du Grand Paris ont quitté la région pendant la semaine où ont été annoncées les mesures de confinement, selon des données anonymes récoltées par l’opérateur Orange et transmises notamment aux autorités sanitaires. »
Selon une analyse statistique réalisée par Orange à partir des données de ses abonnés téléphoniques, 17 % des habitants de la métropole du Grand Paris ont quitté la région entre le 13 et le 20 mars. !
« Ce chiffre est obtenu en extrapolant les données de recensement de l’Insee et les données brutes basées sur nos abonnés – qui représentent 40 % du marché -, mais aussi de toutes les personnes qui se sont connectées sur notre réseau mobile sur cette période », précise l’opérateur.
A la question, mais quelle différence y a-t-il avec la géolocalisation mise en place par la Corée ou Israël, réponse de Thierry Breton : « ces pays sont en guerre ». Il n’avait pas dû écouter le premier discours télévisé de Jupiter nous annonçant justement que nous étions en guerre !
Et c’est surement pourquoi la ville de Dijon annonçait vouloir, comme en Israël, devenir la première « Smart City » (5G, véhicules autonomes, caméras, identification faciale…).
Tout ceci faisant le bonheur des mondialistes qui sont aux manettes et pilotent nos hologrammes de dirigeants.
Évidement voyons répondirent-t-il au bon peuple : pour régler un problème mondial il faut un gouvernement quelle évidence, enfin.
Mais interrogea le Petit Prince, la mondialisation n’est-elle pas à l’origine du problème ?
Si lui répondit Jacques Attali, mais justement c’est parce qu’elle n’a pas été poussée assez loin !
Certes quelques pays gouvernés eux par des dictateurs en titre sont à contre-courant mais qui en agissant à visages découverts apporte de l’eau à notre moulin en tant que contre exemples.
Regarde les Gilets Jaunes, ils réclamaient de l’horizontalité dans l’application du pouvoir, alors que Nietzche y voyait plutôt : « Je souffre donc quelqu’un doit être responsable »
Et bien pendant la période COVID c’est de la verticalité que le peuple demandait au gouvernement, c’est de lui qu’il attendait des réponses, même si ces dernières sont venues du terrain, que ce soit via les soignants, les commerçants, ceux sont eux qui ont géré la crise sur le terrain et pourtant après les quelques mots d’usage et de mobilisation générale prononcé par le président E. Macron dans son discours du 14/06/20, annonçant le dé confinement, c’est l’éloge du gouvernement et de l’état vertical qu’il a fait, tout en avouant au mieux quelques légers dysfonctionnements.
Il faut dire que depuis le moyen âge où le pays s’est construit autour de l’état, c’est presque devenu génétique pour les français de se retourner vers les politiciens et les administrations pour résoudre toute sorte de problème dès que le vent tourne, état largement vilipendé, souvent à raison, le reste du temps.
Tu vois petit là c’est plutôt du Voltaire quand il disait « un pays bien organisé est celui où le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui et le gouverne. »
C’est pour cela que le 06/05/2009 l’Express publiait une note de Jacques Attali: « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle et les inscrire dans une politique de santé démocratique.
La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. Mais, là encore, comme sur tant d’autres sujets, Bruxelles est muet. j@attali.com
En conclusion en « démocratie » il est plus facile de gouverner en état de crise que par temps calme, le peuple est plus docile et demande l’autorité d’un chef, aimé ou pas.
Tous les dictateurs du siècle dernier l’ont bien compris en profitant, voire, en construisant la crise et/ou en désignant un ennemi s’il n’en existe pas. Celui-ci pouvant prendre diverses formes allant du voisin à une idéologie, voire un virus, comme le CORONA. L’ennemi soude les peuples autour de leurs dirigeants et les détourne des problèmes internes.
Autre artisan et fondateur du nouvel ordre mondial, Henry Kissinger l’avait bien compris : « Quand on a peur de l’ennemi qu’on ne comprend pas on va renoncer à tous ses droits ». François Mitterrand aussi après les attentats de la rue Marbeuf, celui de la rue des Rosiers en 1982, et autres de l’époque en instaurant sa cellule élyséenne via le GIGN et son entité le GSPR et en établissant des écoutes de masses, les fameux zonzons à des fins personnelles et de politique intérieure.
Malheureusement comme la célèbre phrase de Churchill concluant à « vous aurez la guerre et déshonneur », Benjamin Franklin prévenait : « un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »
Regarde petit ce qu’un éclairé a publié à juste titre sur Facebook traduisant cela dans la pratique :
Certes ça n’a fait que mettre la poussière sous le tapis, sauf peut-être pour la réforme des retraites qui pourrait être faite à minima pour sauver la face, mais c’est toujours cela de gagné.
Au vu de la situation sociale et sociétale en France, entre les casseurs, les zones de non droit, les mouvements sociaux, le taux de chômage…même si cela peut paraître cynique il ne serait pas étonnant que certains politiques appellent de leurs vœux une seconde vague ou la persistance du risque pour bénéficier d’un peu de soumission à la sécurité sanitaire.
Et pendant ce temps, avant que le conseil constitutionnel n’en interdisse l’utilisation des images, le ministère de l’intérieur a lui acheté pour 4 millions d’euros de mini drones, après avoir fait le plein de LBD et de lacrymogènes, en redoutant probablement « des cons finement insurrectionnels et des émeutes de la faim » avant que le ministre, sous la pression d’une minorité bruyante profitant de la caisse de résonance des réseaux sociaux et des chaines d’information n’instrumentalise un amalgame, ne les désarme et bouffe le bénéfice du rapport de force que n’avaient pas su imposer en leur faveur les Gilets Jaunes en début de crise.
Gilets Jaunes et leurs soutiens qui réclamaient plus de démocratie participative et autre Référendum d’Initiative Citoyenne, et qui, paradoxalement, ont laissé l’abstention être le premier vainqueur des élections municipales, ou du moins du second tour, le premier n’étant qu’une mascarade. Contrairement à ce que l’on entend concernant une prétendue vague verte, ou victoire des écologistes dont certains n’ont que l’extérieur de vert, ce qui leur vaut le surnom de « pastèques » ou de khmers verts, dictateurs en puissance, c’est surtout une victoire de l’abstention avec 60%, et donc, une défaite de la démocratie à laquelle nous avons assisté lors Du scrutin, qui est le plus proche de la démocratie directe et de la base.
Il faut dire que les manipulations politiciennes observées à Marseille, mais comme ce fût le cas à Paris pour Nathalie Kosiusko Morizet, en son temps, qui malgré une majorité en voix n’a pas pu prendre la place de maire de Paris en raison d’une élection indirecte permise par la loi dite Paris, Marseille, Lyon, comme les tambouilles politiciennes et absence de proportionnalité dans la représentation nationale, ont de quoi dégouter les plus fervents démocrates.
En revanche, on vient de franchir une nouvelle étape qui représente le summum de l’art et de la manipulation des masses par l’usage des idiots utiles, mais qui est aussi le symbole de l’aboutissement de ce processus et du basculement.
Ainsi dans l’élan du mouvement mondial généré par la mort honteuse aux USA de George Floyd sous le genou d’un policier zélé, meurtre que certains activistes, plutôt gauchisants, ont stratégiquement décidé d’instrumentaliser au profit de leur cause, bien que dé corrélée du sujet initial ?
Sous prétexte d’un besoin impérieux de plus de « démocratie » en France voit-on paradoxalement une des leaders des Gilets Jaunes demander publiquement « l’interdiction d’accès » aux médias d’Éric Zemmour ! On peut penser ce que l’on veut de la personne comme de tout autre, mais le droit d’expression est justement une des bases de la démocratie qu’elle prétend défendre par le biais de mesures d’exceptions qu’elle critique lui-même. C’est à la hauteur du niveau.
Cette manipulation va de pair avec la fameuse « convention citoyenne pour le climat», conséquence du mouvement des Gilets Jaunes, vendue comme l’apothéose de la démocratie participative en raison du tirage au sort, quasiment disparu de l’histoire moderne au profit des démocraties représentatives comme expliqué par Gabriel Rhabi. Convention dont une ou deux des propositions, toutes retenues par le gouvernement à l’exception de la limitation de vitesse à 110 km/h sur autoroute (soit 12.000 kms, les moins accidentogènes, sur les 1.000.000 du réseau routier), probablement un souvenir des 80 km/h, ainsi que la semaine de 28H, pourraient faire l’objet d’un référendum !
Sur l’intégrité de cette convention sous trouverez un avis de Michel Albouy, professeur émérite des universités et sur le bien-fondé ou pas de ces mesures, dont les conséquences pourraient être pire que le mal, je vous propose une analyse de Thierry Foucart .
Quand on creuse un peu on peut émettre plusieurs remarques. La première concerne justement le tirage au sort par lui-même effectué par l’IPSOS à partir de l’annuaire téléphonique, ou du moins l’acceptation des 150 personnes, âgées de 16 à 85 ans, tirés au sort ce qui sous-entend, d’une part une disponibilité temporelle associée à une sensibilité initiale au sujet ainsi qu’une certaine notion de civisme qui est à mettre en parallèle avec les taux d’abstention constatés à tous les scrutins ! La seconde concerne la coprésidente du comité de gouvernance de cette convention, Laurence Tubiana, qui a organisé les négociations pour le climat lors de la COP 21 et qui fût, un moment, citée comme une potentielle ministre de l’écologie dans le gouvernement Macron 2, ce qu’elle aurait refusé sous des prétextes fallacieux pour ne pas avoir à dire que pour elle l’écologie est forcément de gauche. « Professeur à Science-Po, directrice de la fondation pour le climat, ancienne militante de la ligue communiste, proche de Lionel Jospin et de Daniel Cohn-Bendit ». Le type même de la pastèque comme le jus qu’elle commande lors de l’interview du. Magazine Challenges. Très bobo citadine, tendance gauche caviar en phase avec une des leçons que l’on peut tirer des élections municipales ayant porté des « écologistes » principalement aux commandes de grandes villes et peu en campagne. Ces orientations de gauche, voire gauchistes se sont confirmées dans presque toutes les déclarations de ces nouveaux élus pastèques, au cas près de Marseille où nous avons assisté à un grand moment de démocratie qui ne peut que continuer à éloigner les électeurs des urnes !
Le point suivant touche la « formation » qui a été délivrée aux participants et la nature des intervenants, très…verts. Il ne semble pas qu’un spécialiste ait été invité pour leur expliquer que les voitures électriques tant vantées, fonctionnent justement à l’électricité que seul le nucléaire peut malheureusement produire sans émission de CO2. Même l’Académie des sciences critique la fermeture de Fessenheim, ineptie écologique, économique, sociale et dogmatique ne tenant pas compte de la catastrophe en termes de CO2 de la sortie allemande du nucléaire ! Accessoirement ces voitures fonctionnent aussi avec des batteries chinoises et des terres rares extraites dans des conditions écologiquement désastreuses et inhumaines ! Un rapport de La CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement) estime que « jusqu’à 40.000 enfants travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses, avec un équipement de sécurité inadéquat, pour très peu d’argent, dans les mines du sud du Katanga. Les enfants sont exposés à des risques physiques et abus psychologiques en échange d’un maigre revenu destiné à subvenir aux besoins de leurs familles. » Apparemment personne pour alimenter le débat sur le fait que la voiture qui pollue le moins est et restera, à quelques conditions prés, celle qui existe déjà et qui ne nécessitera pas d’arracher à la terre des matières premières et 35.000 litres d’eau, subventionné par l’impôt sous la forme de primes à la casse sous prétexte de faire tourner les usines et de limiter le chômage dans le cadre de la sacro-sainte croissance ! Les résultats sont donc à la hauteur de ce que l’on pouvait en attendre avec principalement les mesures punitives et des taxes. On pourrait presque conclure que ce groupe, prétendument neutre au départ, se serait radicalisé en quelques mois !
Cette illusion démocratique du tirage au sort et des assemblées citoyennes, sont, d’après Ghislaine Ottenheimer : « le credo des zadistes, des survivalistes, des écolos et libertariens repris en cœur par les Gilets Jaunes, qui recommandaient au passage de déchirer sa carte électorale. L’utopie ultime. L’assurance d’une démocratie chimiquement pure.» Elle rappelle que : « Quand on regarde l’histoire des démocraties, on constate que le tirage au sort fut très souvent appelé à la rescousse pour pallier des pratiques défaillantes. La corruption, l’abus de pouvoir… Ainsi, dans la Grèce antique comme à Florence ou à Venise, ils servent à désigner les magistrats chargés de faire appliquer la loi. Le tirage au sort fut aussi utilisé pour associer le peuple à la conduite des affaires publiques. Ces assemblées provisoires avaient pour mission d’éclairer le débat. De préparer la décision. En cela, l’initiative d’Emmanuel Macron était pertinente. Même si on l’on peut déplorer la pauvreté de la réflexion finale. En revanche, ce qui est inacceptable, c’est la façon dont le président s’est engagé à reprendre la proposition sans filtre. Au nom de quoi ? »
Déjà en 1831 Alexis de Tocqueville dans son analyse du système politique américain avertissait sur es possibles dérives liberticides de la passion de l’égalité chez l’Homme
Les premiers ennemis de la démocratie, ne sont pas les dictateurs parfaitement identifiables eux et qui font souvent office de derniers recours, mais bien la cupidité et l’ignorance du peuple à l’heure où pourtant le savoir est à portée de tous, à condition de faire l’effort d’aller le chercher ailleurs que dans les courants de pensée idéologiques dont Internet est devenu la caisse de résonance, ou sur les chaines d’information qui sont, comme par hasard, toute détenues pas ceux qu’ils prétendent combattre.
Bien venu dans « Le meilleur des mondes » et « 1984 » réunis « en même temps » comme dirait certains, décrivant notre soumission que nous perfectionnons de jour en jour, même si quelques lueurs pourraient laisser espérer que … pour exemple. La ville de Marinaleda en Espagne « démocratie directe, 0 chômage et 0 misère »
Au bilan si 72% des Suédois, 65% des Allemands et seulement 41% des Français sont satisfaits de la manière dont fonctionne la démocratie dans leur pays.
Pourtant pour Martin Gurri : « Une société de méfiance est ce qui subsiste lorsque les institutions sont toutes contrôlées par des élites à la fois distantes et incompétentes »
Mais n’a-t-on pas les élus et le modèle politique que l’on mérite ?
Mais vois-tu mon petit, je viens d’évoquer ici le totalitarisme que ma génération post soixante-huitarde a laissé s’installer par fainéantise et confort matériel entre les années soixante et la chute du mur, années de liberté et de prospérité où nous avons cramé la chandelle par les deux bouts après les 30 glorieuses, mais celui que nous te laissons est encore plus sournois et possède des moyens et des capacités d’aliénation puissance dix, c’est celui des GAFAM
Depuis le début de l’année l’action Amazon a progressée de + de 30% son dirigeant, Jeff Bezos, malgré une perte de 9 Milliards de dollars en raison d’un couteux divorce, reste l’homme le plus riche du monde avec 143 Milliards de Dollars, en progression de I9,2% en un an, à mettre en face des 205 milliards que la France va emprunter en 2020 pour simplement vivre, devant Bill Gates Microsoft) à 106 MDS, Mark Zuckerberg (Facebook) à 78,6. Seuls Bernard Arnault (LVMH) avec 76,4 MDS et Rob Walton (Walmart) avec 54,6 viennent troubler l’omniprésence des dirigeants des GAFAM dans les 10 premières places. Et il n’y a pas de raison que cela s’arrête puisque 60% des européens ont acheté en ligne en 2019. D’autant plus qu’Amazon Web Service (AMW), une des principales sources de revenus du groupe (60% du résultat pour 12% du chiffre d’affaire avec 178 MDS de CA) possède 48% des parts de marché de l’hébergement avec 120 datas centers, devant Azure de Microsoft avec 15,5%, le chinois Alibaba à 8%, Google à 4% et IBM à 2%. Amazon c’est une force de frappe et d’influence de 600.000 salariés dans le monde malgré une robotisation optimisée, 5 milliards de colis/an, 300 millions de clients. Pour un emploi créé chez Amazon c’est deux de détruits ailleurs. Sa « Market place », aux conditions « particulières » contrôle directement l’accès aux marchés des autres acteurs, avec pour objectif de devenir la seule plateforme Internet au monde… aux côtés du chinois Alibaba !
« Les Gafam qui ont, au mieux, quelques dizaines d’années d’existence, dominent aujourd’hui les marchés financiers mondiaux. Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft ont encore renforcé leur domination pendant la crise sanitaire. La capitalisation boursière de ces géants américains a grimpé de plus de 1 000 milliards de dollars depuis le début de l’année
Ils pèsent désormais plus de 6 000 milliards de dollars en Bourse. Ces 5 valeurs représentent désormais plus de la moitié du Nasdaq 100, l’indice des 100 plus grandes sociétés technologiques américaines et près du quart de l’indice large Standard & Poor’s. »
Dans une logique d’intégration verticale, de maximisation des profits et d’indépendance, ces structures qui louaient de la bande passante chez des opérateurs comme Orange, sont en train de mettre en place leurs propres câbles sous-marins. Un jour viendra où, comme pour les médicaments et les principes actifs nous prendrons conscience de notre dépendance stratégique ! Quant au cloud européen évoqué par Brunon Lemaire ?
Autre point d’interrogation, qui fait réagir certains salariés de ces entreprises, l’exemple de Google qui a menti sur son partenariat avec la défense US, pour 10 MDS, est la collaboration plus ou moins officielle et avouée de ces entreprises avec les gouvernements pour l’exploitation des données et de leur IA pour manipuler les votes ou surveiller les populations qui font réagir. Le scandale de Cambridge Analytica lors du scrutin aux USA n’est probablement que la partie émergée de la chose. Le patron fondateur de Palantir, Peter Teal, fabricant du principal logiciel et système de suivi des « masses » est un ami du président Trump. Mais tous les GAFAM sont mouillés sur des projets douteux avec les gouvernements. Pour les autres entreprises, elles sont souvent dirigées par des ex ou futurs ministres, ou bien la CIA est présente au capital avec un de ses fonds d’investissement comme InQtel.
Point suivant anti démocratique qui a gangréné toutes les institutions dites démocratiques à l’échelle mondiale : « les Lobbys » qui se sont goinfrés en cette période de COVID, notamment au parlement européen où la médiatrice vient d’ouvrir une enquête sur un contrat passé avec BlackRock, le fond d’investissement. C’est comme confier les clés de sa cave à un ivrogne ! En France, « Les lobbys font feu de tout bois » selon un article du magazine Challenges qui nous apprend que : ceux-ci « surfent sur les angoisses des clients. Il y a un haut niveau de sollicitations, car le gouvernement et le parlement légifèrent beaucoup. Une soixantaine d’ordonnances ont été prises pour faire face à la crise sanitaire et les soutiens sectoriels se multiplient, en attendant un plan de relance globale. De quoi donner lieu à d’âpres négociations en coulisses. Mission prioritaire des lobbyistes : décrocher des aides sonnantes et trébuchantes.» si tous les secteurs sont à l’œuvre le magazine nous apprend que : « le coup le plus étonnant a été réussi par la grande distribution et l’industrie agroalimentaire. Fin 2018, Carrefour, Danone et consorts avait obtenu une hausse temporaire de 10 % du prix minimal auquel les distributeurs peuvent vendre des produits alimentaires. Mais, selon l’UFC – Que Choisir, cette hausse a largement été capté par les industriels et les distributeurs qui importent. Ils ont récemment réussi à faire passer une prolongation de 14 mois dans le projet de loi qui visait à faire face aux conséquences de l’épidémie. Ce qui désole Raphael Bartholomé : « c’est passé comme un claquement de doigts, sans débat parlementaire. » En gros toujours les mêmes, et avec un probable effet cliquet qui érodera de façon durable le pouvoir d’achat et alimentera une possible nouvelle épidémie de jaunisse des ronds-points. D’où la mission première des partis politiques depuis 1840, canaliser les insatisfactions des électeurs dans des oppositions pour des conflits sans conséquences. La lutte des classes ayant été remplacée par la lutte pour les places ce sont encore depuis 1831 des professionnels de la politique, majoritairement des hommes de la soixantaine, de la classe aisée qui votent des lois selon leurs intérêts, directs ou indirects, en trompant l’opinion public pour faire croire au peuple qu’ils le représentent.
« Les turbulences socio-politiques qui se sont accrues dans le monde entier depuis au moins une décennie proviennent en partie du fait que les institutions politiques ont été façonnées par le XXe siècle sur des principes verticaux mal adaptés au XXIe siècle. »
J’ajouterai juste ma couche en précisant que pour que la démocratie tienne face aux tentations des extrêmes résiste à la loi du plus fort et à l’anarchie, il faut une police républicaine, que nous avons la chance d’avoir, mais dotée des moyens matériels et juridiques pour que force reste à la loi. C’est une des missions régaliennes de l’état, faire appliquer et respecter les lois, y compris en son sein, par une juste mesure des moyens coercitifs qui peuvent être en opposition avec la justice mais qui doivent cohabiter pour un juste milieu.
Maintenant vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas. A vous de faire la part des choses, de vous faire votre opinion et décider.
Un Homme étant la somme de ses décisions et de ses actes, pour ma part j’aurai peut-être ici humblement apporté une autre petite pièce à la conscience collective.
Avant la brillante mais simple explication de Gabriel Rhabi qui elle aussi pourrait expliquer aux futurs révolutionnaires qu’il ne s’agit pas de demander un Référendum d’Initiative Citoyenne, qui comme chaque élection organisée par le pouvoir, serait un parfait piège à cons, mais bien une 6éme république redonnant au peuple le pouvoir prétendument conquis en 1789, celui d’éditer directement les lois, ou du moins de les approuver, en copiant, pourquoi pas, ce qui fonctionne le mieux, à mes yeux, en terme de démocratie, et par voie de conséquence en économie aussi. Vous pouvez aller voir un exemple de vraie démocratie quasi directe, juste à côté, en Suisse avec ses célèbres « votations » à chacun de ses 3 niveaux administratifs.
Le modèle Suisse, peu de grèves, de manifestations, de prud’homme puisque le peuple est souverain quand chez nous 9 lois sur 10 sont rédigées par des hauts fonctionnaires non élus, le « deep state » ; des états dans l’état quand ce ne sont pas des forteresses comme Bercy !
Quant à la situation actuelle, suite de ruptures et chocs environnementaux et écologiques, économiques et financiers, géopolitiques, sociétaux, est-ce la chute de Teotihuacan ou de Rome, le début de la fin d’une civilisation ?
A chacun de voir et d’agir.
Il n’y a qu’une certitude c’est que dans tous les cas seul le changement est constant. Le changement collectif et l’adaptation nécessaire seront la somme des changements individuels.
Il y avait un monde avant et un après le SIDA, un avant et après les attentats terroristes, il y aura un avant et après COVID. Tous ont des points communs, un ennemi insaisissable, diffus, qui impose les règles d’un combat asymétrique, dont on ressort avec moins de liberté et plus de contraintes. Celui-ci a la particularité, à ma connaissance, que pour la première fois la totalité de la population mondiale regarde dans la même direction ; Probablement avant de revenir chacun à ses préoccupations et à essayer d’en tirer un avantage stratégique dans un monde de plus ne plus fragmenté alors que la cause de la cause est bien collective, la disparition de la biodiversité et la réduction, notamment par la déforestation et l’exploitation des ressources naturelles, de l’habitats des espèces sauvages.
L’évolution et la mondialisation ont globalisé et développé cette vision pour transformer, malgré quelques soubresauts récurrents, les électeurs dociles en emprunteurs et consommateurs qui n’auront bientôt qu’un seul et même interlocuteur, Amazon et/ou Alibaba qui auront fini d’aliéner peuples et dirigeants à coups d’algorithmes et de soumission intéressée.
Et donc parce que paradoxalement totalitarisme et mondialisation font bon ménage, la prochaine vidéo, qui clôturera ce cycle de vidéos de la période COVID, traitera de « l’impossible démondialisation heureuse » afin de reprendre un peu de hauteur prospectiviste.
Merci à vous, à bientôt sur nos lignes et continuez de sortir masqués, mais les yeux grands ouverts en prenant le recul nécessaire devant les manipulations généralisées.
Et restez un 11 minutes de plus pour écouter Gabriel RABHI répondre à l’aide d’une animation à la question « sommes-nous en démocratie » https://www.youtube.com/watch?v=NA5HdLiJxBo&feature=youtu.be
Je vous invite également à suivre « L’impossible révolte des peuples d’occident » du même Gabriel Rabhi où les apprentis révolutionnaires trouveront des conseils de la minute 4,56 à 5,34.
Et à lire « Et après ? » d’Hubert Védrine, un homme à la vision large et fin connaisseurs des rouages de ce monde.
Et plus que jamais à l’ordre du jour et indispensable pour se poser les bonnes questions et y trouver quelques pistes et suggestions.
Prioritairement chez votre libraire pour lui permettre de payer au moins ses charges et de survivre puis, chez l’éditeur BOD où il existe également en version numérique.
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Cordialement, Thierry
Tenancier du café du commerce de la 25ème heure du Jour D’Avant.
La lettre du café du commerce de la 25ème heure du jour d’avant est une lettre électronique publiée gratuitement à un rythme variant selon l’humeur du rédacteur et des événements. Elle ne peut en aucun cas être assimilée à des conseils d’achat ou de vente de valeurs mobilières restant sous la seule responsabilité du lecteur. Les opinions ou informations formulées, ne constituent en aucun cas des recommandations personnalisées en vue de réalisation de transactions, pas plus que des opinions politiques ou religieuses.
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