La volonté Iranienne d’avoir la bombe vaut t’elle le coup de mettre le feu à la région ?
En posant une question aussi primaire, tout juste du niveau du comptoir du café du commerce, et de façon aussi idiote, cela n’appelle pas une réponse très intelligente. Quoi que !
Comme d’habitude, dans un monde complexe, comme dans une même personne, une chose et son contraire peuvent cohabiter. Surtout dans cet Orient dont de Gaulle avait bien mesuré la systémique et la difficulté pour nos cerveaux occidentaux à en décrypter les rouages.
Elle appelle au moins trois autres questions, quelques remarques et des réflexions sans fin.
La première question pourrait être : pourquoi l’Iran veut la bombe ?
Sans disposer d’informations privilégiées de nos services, il me semble tout de même que ce n’est pas forcement l’Iran qui veut la bombe, mais plutôt, voir uniquement, ses dirigeants actuels. Le peuple, ou tout du moins une partie de ce grand peuple, ayant été à tout point de vue, avant l’obscurantisme religieux et la folie de ses derniers gouvernements, une des lumières intellectuelle et artistique du monde, aspire probablement à plus de liberté et de confort qu’à l’atome militaire !
Cette vision explique en partie l’obstination des dirigeants actuels à vouloir posséder ce joujou, avant tout pour rester au pouvoir, sachant pertinemment, et encore plus à la lecture de ce que l’on a appelé les révolutions arabes, que dans le cas contraire ses jours étaient comptés.
Une réponse assez logique pourrait donc être : « Mais comme tout le monde, pour vivre en paix », d’une part et d’autre part, pour ne pas finir comme Kadhafi qui lui, avait consenti des efforts sous la pression occidentale pour mettre fin à ses velléités nucléaires. Là aussi, je ne suis pas sur que les occidentaux, et notamment la France aient bien réfléchi aux conséquences de l’exemple qu’ils donnaient en cramant le « campeur de l’Elysée », caution électoral à l’international !
Elle peu taussi s’en sevir comme vinet de la faire la Corée du nord en négociant une agrssivité limitée en echange de nourriture. Bien joué, ce type de stratégie peut durer dans le temps et seet de passeport pour obenir ce dont on à besoin, du moins tant que sa possesion reste considerée comme une menace, qu’il suffit donc d’entrenir y compris par le discours.
La deuxième pourrait être pour en faire quoi ?
A cette dernière, les faucons US, l’industrie militaire, ou, les intégristes à bigoudis, vous répondront, pour vitrifier Israël bine sur. Ce qui justifierait, si besoin était, la course aux armements et aux couteuses défenses anti missiles, voir aux frappes préventives.
Les moins intégristes commenceront par attirer votre attention sur l’efficacité assez partielle des frappes préventives, les techniciens du béton Iraniens et autres stratèges, n’étant pas les derniers des imbéciles, surtout quand ils sont aidés par des industries occidentales ou russes.
Quel intérêt pour les dirigeants iraniens de lancer une attaque frontale, qui rayerait de facto leur pays de la carte sous une réplique immédiate et légitimée, d’une coalition arabo-occidentale trop heureuse de faire tourner la machine à bombes et d’éliminer de la scène politique un concurrent religieux aux prétentions hégémoniques certaines.
La troisième pourrait être : quels seraient les Impacts de la bombe iranienne, ou d’une frappe, sur les autres pays du golf dans le cadre de la rivalité Sunnite- Chiite.
En se souvenant que les seuls n’ayant jamais réussi à rapprocher ces deux « confessions » étaient les US lors de leurs interventions dans le golf.
Cette question se positionne à la lecture des mouvements qui ont secoué les pays arabes et des inquiétudes pour le moins légitimes des dictatures corrompues du golf, « pour le moins tolérées » par l’occident pour des questions de barils !
Tout cela également sous le regard de la Turquie, autre grande nation sunnite de la région qui ne pourrait qu’être tentée comme d’autres d’accéder également à ce parapluie, que nous même appelons « dissuasion ».
J’ai toujours eu du mal à comprendre pourqoui, nous aurions le droit de posséder la bombe, et surout pourquoi nous aurions le droit de l’interdire à d’autres. Enfin pas tous car Israël ‘a demandé à personne et personne ne lui a reine dit. Il pourrait peut être plus judicieux de l’interdire à tous ou du moins de definir un critère non pas politique mais en msurant le niveau de democratie par exemple pour autoriser ou interdire sa pssoosssion. Certes la democratie peut etre temporaire, mais un tel système d’autorsation sous l’egide de l’ONU apr exemple sous entend également la mise en place d’un autre garantissant justemetn les eemocratie de façon aussi trasparente ce qui ne fut pas le cas entre le traitement libyen et sirens. C’est donc d’un gouvernance mondiale dont on aprle ici.
Tout un programme !
En attendant Dasn tous les cas, avec ou sans notre accord ils auraont un our ou l’autre la bombe, donc autant anticiper, et intelligement ur une fois, c’est dire avec une vision géostratégique ,
Il reste donc à espérer que les décisions à venir ne seront pas uniquement guidés par des idéologies partisannes, des besoin de politiques interne voir électoralistes et court termistes.,
Et poutant coici ce qu’on peu tlire et eentendre actuellement :
« Les États-Unis promettent qu’Israël maintiendra sa supériorité militaire
Les Etats-Unis fourniront tout le soutien nécessaire afin qu’Israël maintienne sa supériorité militaire face à ses ennemis, a promis mardi le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta, en évoquant le programme nucléaire iranien. devant l’American Israel Public Affairs Commitee (Aipac), principal lobby pro-Israël aux Etats-Unis.
L’aide militaire américaine à Israël requise cette année par le président Barack Obama est de 3,1 milliards de dollars, contre 2,5 milliards lors de son arrivée au pouvoir en 2009, a affirmé M. Panetta, expliquant qu’en 10 ans, ce sont 30 milliards de dollars d’aide militaire que Washington s’est engagé à fournir à Israël.
Lors de sa prise de parole devant l’Aipac, le ministre de la Défense américain a rappelé que les matériels militaires fournis par les Etats-Unis à Israël étaient limités seulement à nos plus proches alliés et partenaires. Défense antimissile, futur avion de chasse furtif F-35: Leon Panetta a passé en revue certains armements destinés à assurer la supériorité qualitative de l’armée israélienne par rapport aux autres pays de la région. Il s’est en revanche gardé d’évoquer les bombes antibunkers américaines que de nombreux experts jugent nécessaires pour détruire les installations nucléaires souterraines du site de Fordo en Iran. Dénommées MOP (massive ordnance penetrator), ces bombes conventionnelles de 13 tonnes, dont plus de 2,3 tonnes d’explosifs, sont dotées d’un pouvoir pénétrant suffisant pour détruire des installations profondément enterrées, jusqu’à 60 mètres selon des observateurs qui doutent qu’Israël dispose d’une telle capacité. Evoquant le programme nucléaire iranien duquel il s’est entretenu lundi à Washington avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le chef du Pentagone a réaffirmé qu’il n’y a pas plus grande menace pour la sécurité d’Israël et de la région tout entière -et donc pour les Etats-Unis- qu’un Iran doté de l’arme nucléaire. Nous n’avons pas une politique d’endiguement, nous avons une politique visant à empêcher l’Iran d’acquérir des armes nucléaires, a réaffirmé M. Panetta, faisant écho aux déclarations du président Obama dimanche devant l’Aipac et lundi lors d’un entretien avec M. Netanyahu. Le président a été clair, les Etats-Unis ne bluffent pas, a-t-il déclaré. Les Etats-Unis n’excluent pas le recours à la force en dernier ressort pour empêcher Téhéran d’entrer dans le club des puissances nucléaires militaires mais privilégient la voie diplomatique et des sanctions pour dissuader l’Iran. Lors de sa visite à Washington qui s’achève mardi, Benjamin Netanyahu a affirmé que sa responsabilité suprême, en tant que Premier ministre israélien, est de veiller à ce qu’Israël reste maître de son destin. Dimanche, M. Obama avait critiqué de façon à peine voilée la multiplication des menaces israéliennes d’attaquer l’Iran. On parle trop de guerre, avait-il estimé devant l’Aipac. Selon des analystes israéliens, M. Netanyahu espérait obtenir du président Obama lors de cette rencontre une promesse d’opération militaire américaine contre l’Iran ou à défaut, un accord tacite pour une attaque israélienne.
Source du texte : romandie.com
Thierry
Tenancier du café du commerce du Jour D’Avant.
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